Aujourd’hui, l’agriculture biologique est au centre de toutes les attentions. Parfois considérée comme « trop chère », mais nécessaire pour une alimentation plus durable et respectueuse de l’environnement, quelles alternatives peuvent être envisagées ? On vous parle aujourd’hui d’une entreprise qui a choisi de remplacer les pesticides par des insectes. On vous explique 👇
Qui en est à l’origine ?
À l’origine de cette proposition, une entreprise bien connue aujourd’hui pour ses tomates et ses fraises. En effet, cette dernière a réfléchi à une alternative aux pesticides, sans pour autant se tourner vers l’agriculture biologique qui est souvent hors budgets pour les consommateurs, selon François Pouliquen à la tête d’une exploitation adhérente à la coopérative de Savéol.
C’est à Guipavas, aux portes de Brest, que 126 maraîchers de la coopérative produisent près de 16 000 colonies d’insectes voués à prendre soin des plantes naturellement.
À l’origine de cette proposition, une entreprise bien connue aujourd’hui pour ses tomates et ses fraises. En effet, cette dernière a réfléchi à une alternative aux pesticides, sans pour autant se tourner vers l’agriculture biologique qui est souvent hors budgets pour les consommateurs, selon François Pouliquen à la tête d’une exploitation adhérente à la coopérative de Savéol.
C’est à Guipavas, aux portes de Brest, que 126 maraîchers de la coopérative produisent près de 16 000 colonies d’insectes voués à prendre soin des plantes naturellement.
Comment ça fonctionne ?
Ces insectes, les eretmocerus et les macrolophus, tels que des petites guêpes ou des mouches, vont venir grignoter les pucerons, les œufs de chenille ou directement les chenilles qui viendront sur les plantations. Pour ce qui est des encarsias, ils vont pondre et se développer dans les œufs des mouches qui pourraient nuire aux plantations.
Ces insectes, les eretmocerus et les macrolophus, tels que des petites guêpes ou des mouches, vont venir grignoter les pucerons, les œufs de chenille ou directement les chenilles qui viendront sur les plantations. Pour ce qui est des encarsias, ils vont pondre et se développer dans les œufs des mouches qui pourraient nuire aux plantations.
Et à l’avenir ?
Actuellement, la coopérative, dispose d’un espace de 4500 m2 pour la production de ces petits insectes. Et cette année, Savéol va se voir acquérir 1200 m2 supplémentaires afin de pouvoir accroître la production de ses insectes et y ajouter la production de punaises. La coopérative va également passer de 16 maraîchers à 163 en 2021 afin de pouvoir produire plus d’insectes pour la culture des fraises, car en effet, jusqu'à maintenant, les insectes étaient concentrés sur les cultures de tomates.
Que pensez-vous de cette alternative aux pesticides ? En aviez-vous déjà entendu parler ? 🤓
Source : l’info durable
Actuellement, la coopérative, dispose d’un espace de 4500 m2 pour la production de ces petits insectes. Et cette année, Savéol va se voir acquérir 1200 m2 supplémentaires afin de pouvoir accroître la production de ses insectes et y ajouter la production de punaises. La coopérative va également passer de 16 maraîchers à 163 en 2021 afin de pouvoir produire plus d’insectes pour la culture des fraises, car en effet, jusqu'à maintenant, les insectes étaient concentrés sur les cultures de tomates.
Que pensez-vous de cette alternative aux pesticides ? En aviez-vous déjà entendu parler ? 🤓
Source : l’info durable
