Défi minimaliste


Partout dans le monde, nous sommes surchargés d’informations, de sollicitations, de possessions et de plus en plus nombreux à arriver à cette conclusion : posséder toujours plus et vivre plus connectés ne nous rend pas plus heureux. Ce qui nous rend heureux, c’est de passer du temps avec les personnes que l'on aime, de créer des relations vraies autour de nous ou de nous impliquer pour le bien commun (engagement associatif par exemple).
À l’heure où, les urgences climatiques et écologiques nous invitent à revoir nos modes de vie, le courant du minimalisme semble apporter pas mal de réponses. On vous en dit plus !

C’est quoi le minimalisme ?

Être minimaliste, c’est arrêter de consommer à outrance, pour se concentrer sur l’essentiel, ce qui compte vraiment. En désencombrant nos maisons, on se libèrerait l’esprit et on se recentrerait plus facilement. Le minimaliste ne souhaite pas posséder à tout prix. D’ailleurs, il n’a pas besoin de gagner autant d’argent que nous autres, car ses besoins sont bien moindres.
Devenir minimaliste dans notre société n’est pas une mince affaire : dès le plus jeune âge, nous sommes habitués à posséder une multiplicité d’objets. Cette surabondance est nourrie par de grands temps forts commerciaux : anniversaires, Noël… Il faut donc d’abord tout remettre en perspective et se défaire de ses vieilles habitudes. Il faut également gérer le regard des autres dans cette affaire et « assumer » ce changement.

Tout commence par un grand « désencombrement »

Pour tous les minimalistes, le premier grand passage obligé est le désencombrement pour se débarrasser de tous ces objets qui pullulent dans nos intérieurs. Un peu comme un grand ménage de printemps mais en plus extrême, si vous voulez.

Pour vous aider à faire le tri, de nombreuses méthodes existent dont celle portée par la très médiatique Marie Kondo (et dont les méthodes se déclinent dans un TV show visible sur Netflix autour de l’art du rangement). En gros, tout ce qui ne vous est pas essentiel et ne vous sert pas au quotidien ou tout ce qui ne vous rend pas heureux, peut être donné !
Ainsi, vous apprendrez à vous satisfaire de ce que vous possédez, serez plus heureux et gagnerez de l’espace. C’est en tout cas l’esprit.

Ne jetez pas : donnez !

Il est évident que ce grand désencombrement ne doit pas aboutir à une grande virée à la déchèterie uniquement. Tous les objets et vêtements en bon état doivent être donnés en premier choix.
Pour cela, vous avez le choix. Smiile est évidemment un très bon outil pour tous vos dons et vous évite le déplacement puisque vos voisins viennent le plus souvent jusqu’à chez vous pour récupérer les objets / vêtements.
Vous pouvez aussi vous rapprocher de vos associations de quartier : Emmaüs, le secours populaire ou la Croix-rouge par exemple.
N’oubliez pas que pour minimiser l’empreinte carbone de ces dons, il est recommandé, de les faire à une échelle ultra locale par l'Ademe, d’où la plus-value de Smiile :-) http://www.etudeconsocollab2016.ademe.fr/

Devenir minimaliste : un projet qui se joue dans la durée

Ce n’est pas un sprint mais une course d’endurance. Le minimalisme demande une immense volonté pour tenir dans le temps.
Certains événements, comme le retour de l’été, un déménagement ou l’arrivée d’un enfant par exemple rouvriront les vannes de la tentation de surconsommation. Il vous faudra alors résister et toujours acheter en vous posant la question : est-ce vraiment nécéssaire ? Quelles sont les alternatives ? Puis-je mutualiser ?
Devenir minimaliste implique de revoir profondément des habitudes de consommation très bien ancrées. Pour résister plus facilement : ne vous exposez pas aux tentations. Vous pouvez par exemple organiser vos notifications et outils numériques pour ne plus recevoir les sollicitations commerciales (désabonnement des newsletters, des sms…).

Alors prêts à vous lancer dans l’aventure ?    
https://www.smiile.com